Les sentiers

__________

Chemin de la Chapelle Marin – Sars-la-Buissière (inaccessible)

C'est une section de 550 mètres d'un vieux chemin qui traversait jadis le village de Sars-la-Buissière.

Atlas cadastral des vicinaux de Sars-La-Buissière : Ch 17

Piedsente du Pergat

A l'est du village de Bienne-lez-Happart, depuis la rue de Rouveroy jusqu'à la ferme du moulin de Bienne. Ce sentier est ensuite prolongé par une voie balisée

Atlas cadastral des vicinaux de Bienne-Lez-Happart : S39.

Le carrefour du Champ de Lobbes

Au XVIIIème siècle, les bois de Lobbes couvraient encore tous les Bonniers et s'avançaient jusqu'au Calvaire. La frontière d'Empire

Ss 63 – 43 – 60 – 59 – 61 – 36 (Lobbes)

Les infos gLob'

__________

Vous cherchez un cadre verdoyant et des parcours hors de la circulation automobile pour vos promenades ? Diverses randonnées vous sont proposées.  Les possibilités de promenades pédestres dans la région de Lobbes – Thuin se sont multipliées ces dernières années.
D’une part, la demande pour ce genre d’activité est en augmentation et d’autre part, les autorités ainsi que quelques associations locales mettent progressivement en place des synergies visant à valoriser ce patrimoine naturel trop souvent négligé.

Le caillebotis de la Sapinière : Juillet 2015

Fabrication et pose de panneaux « Sentier Communal »

Les chroniques

__________

Le quartier des Bonniers

Après la bataille de Waterloo, Lobbes et les villages voisins firent partie des Pays-Bas jusqu'en 1830. De 1816 à 1826, les cartographes militaires entreprirent de lever de nouvelles cartes. C'est ainsi que nous avons un aperçu de l'extension de notre village vers le nord. La grande forêt avait été abattue pour livrer passage à la nouvelle route qui relierait Thuin et Lobbes à la zone industrielle du Centre. Un carrefour permettait la liaison de ces deux sections en un axe unique aboutissant à la route de Bascoup. De part et d'autre, le terrain boisé fut défriché et loti en parcelles susceptibles d'accueillir de nouvelles habitations. A vue de nez, une parcelle s'étendait sur un bonnier. Il s'agissait de mesures anciennes qui avaient le défaut de varier d'un lieu à l'autre. Ainsi à Rance, le bonnier valait 1ha 20a (12.051 m2) alors qu'à Thirimont, le bonnier de Liège valait 1ha36a (13.626m2). Quoi qu'il en soit du système métrique, ce nouveau quartier porta vite le nom de "Les Bonniers", et on parla encore longtemps de nouveaux défrichements que nos ancêtres nommaient "dérodés (1) ou "drodés" (2). C'est donc au début du 19ème siècle que les Bonniers virent le jour à la place d'une forêt abattue. Au début, les habitants ne se pressaient sans doute pas pour y habiter. Ironiquement, un des nouveaux chemins fut appelé: rue des 4 Djins. En ce début de 21ème siècle, il semble bien que tous les espaces y seront bâtis mais changera-t-on le nom de la rue ?
Lire la suite